jeudi, mai 14, 2009

Graines d'excuses...

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J'ignore pourquoi, quand je publie un billet il arrive aux intervalles de varier. Entre les lignes, un espacement ou un autre. Parfois aucun espace entre les paragraphes, alors que la fonction correcte est activée.
D'où plusieurs publications d'un même texte. Entre deux batailles. Pour obtenir ce qui me plait. Ce doit être exaspérant pour ceux qui sont abonnés au flux.
Désolée. Je ne peux que leur présenter des excuses. Et tâcher d'être moins distraite, de ne pas me tromper de touche. Oui, cela ressemble à une promesse électorale, j'avoue. Dépasserai-je le stade 'Mystère et boule de gomme' ? Hasardeux de m'y engager...
Quelle avanie ♪♪♪ !
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2 commentaires:

JEA a dit…

Pas entièrement hors sujet, car autre avanie.
Phébus, dans sa collection de poche "libretto", réédite les romans d'André Dhôtel.
Les illustrations des couvertures sont de grande qualité mais étrangères aux pages de chaque volume.
Soit des illustrations d'herbier hors contexte littéraire.
Mais sans référence à la source. Ni précision sur la gravure retenue.
Il manque cruellement vos lumières.
Les trahisons de la technique sont comme autant d'horizons à dépasser...

Elisabeth.b a dit…

André Dhôtel. J'ai tant rêvé autrefois du Pays où l'on n'arrive jamais. Au point qu'il occupe une place particulière dans mes lectures d'enfance. Livre territoire dont le titre m'émeut encore.

Oh mes lumières vous savez... à peine des lucioles. Mais je partage avec vous ce refus des illustrations hors contexte. Ou affreusement racoleuses. Quand j'ai cherché le texte de Schnitzler 'La nouvelle rêvée' ( traduction juste de Traumnovelle ?) je n'ai trouvé qu'une édition de poche à la couverture tapageuse : la photo d'un film qui avait si peu de raisons de s'en réclamer. Le libraire était aussi désolé que moi. Sans doute avions nous le genre anachronique.

Les références à une source, les précisions... j'ai peur que la facilité à reproduire ne favorise leur effacement. Commes ces disques copiés, avec juste un titre, où le nom des interprètes ne figure même pas.

À propos : je n'ai toujours pas trouvé dans quel musée se trouve le tableau d'Otto Diderik Ottesen. Aïe !