vendredi, octobre 23, 2009

« Le paysagiste reconquiert des fragments de ville pour apporter la nécessaire poésie utile aux hommes »

.Burkea africana. Photo : Rotational.

C'est du Mali que nous vient cette belle défense de la profession de paysagiste. Dans un article qui rappelle les connaissances et les savoir-faire nécessaires pour l'exercer. Et, bien au-delà, exprime des exigences qui sont bonheur à lire.
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Si au Mali les paysagistes ne sont pas encore reconnus et sont exposés à la précarité, qu'en est-il en France ? Quelques noms prestigieux. Mais chacun peut s'approprier le titre. Jardinier était plus modeste et tout autant respectable.
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On ne s'improvise pas paysagiste. Ce que défend C. A. Dia : un art et une nécessité :
« Aujourd’hui l’espace de vie convient de moins en moins bien aux humains qui l’occupent ».
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Pour illustrer ce plaidoyer, une photo. Un homme est accroupi au milieu de végétaux. Attentif. Il choisit ? Il observe ? Une certitude, il prendra le temps nécessaire.
Je souhaite à ce texte de nombreux lecteurs : Le blues des paysagistes (L'Essor du 6 octobre 2009)


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Rectificatif, septembre 2010 : l'article est publié maintenant sur le site Malikounda. Une photo différente l'illustre.

Rectificatif, août 2016: comme les plantes qui se resèment, voici l'article sur une autre page, Maliweb.

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6 commentaires:

JEA a dit…

le blues des paysagistes... les paysagistes des mélancolies...

claire a dit…

Etre architecte du végétal, quel métier 'sublime' par les temps qui courent, si vite, si vite...

claire a dit…

Song for Macha,'sublime'... merci

Elisabeth.b a dit…

Oui, quel chant !

♪♫
Les enregistrements musicaux figurant de façon éphémère sur ce blog, je note le lien ici :

Le Babaté Orchestra
Alessandra Agosti : piano. Woz Kaly : voix. Jean-Marc Zelwer : accordéon & compositions

La Kumpania Zelwer
Revêtue de ses plus beaux atours, la Kumpania Zelwer reçoit dans son salon, un salon de mendiants au velours patiné et aux murs tapissés d'instruments ...

Anonyme a dit…

Merci d'avoir un blog interessant

Elisabeth.b a dit…

Merci à vous de votre visite et de votre commentaire amical.

Le bel article de C. A. Dia n'est plus accessible sur le site indiqué. On peut le lire sur Malikounda.