mercredi, juin 10, 2009

Près de l'eau, suite

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À peine plus loin. L'eau est stagnante, mais ce n'est pas un état définitif. Un bambou dessine la limite d'un espace qui fut aménagé. Orties légérement penchées. Plus élégantes que bien des plantations. Nécessaires à certains papillons. Si tout jardin pouvait en héberger quelques unes...
Les courbes dominent. Tant de nuances de vert dans ce paysage. Magnificence d'avant l'été.
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4 commentaires:

JEA a dit…

Madame Emilie Carles n'oubliait jamais des orties dans sa "soupe aux herbes sauvages".

Elisabeth.b a dit…

Et je ne l'ai pas lue... au point de la croire longtemps canadienne. Ma logique me déroute parfois.

Jean Pierre J. a dit…

Chez moi, l'ortie est en bordure de route...un coup de faux, et hop...c'est prêt pour le purin...(qu' en réalité, j'oublie d'utiliser.. mais c'est ....comment dit-on? tendance..)

Elisabeth.b a dit…

Oui mais le geste vous pose un homme.