Majorelle, deux livres
Un jardin à Marrakech, Jacques Majorelle Peintre-Jardinier
Auteur : Alain Leygonie
Éditeur : Michalon.
Présentation de l'éditeur : .
« Associé à l'Art nouveau dès le début du vingtième siècle, le nom fleuri de " Majorée " va, dès 1917, se confondre avec la ville de Marrakech. Dès lors, et jusqu'en 1962, date de sa mort, le Lorrain Jacques Majorée, débarqué au Maroc pour des raisons de santé et une quête de lumière, va promener son nom dans les souks, les kasbahs de l'Atlas et en Afrique noire.
Son nom est uni à jamais à un jardin féerique, l'œuvre de toute une vie, et à un bleu de renommée mondiale - le fameux bleu Majorée. Ils auront autant fait pour sa gloire que son œuvre peinte. (...)
Ce livre propose de raconter la vie aventureuse et à ce jour trop méconnue du peintre-jardinier, du fou de bleu qui eut pour élève et ami un certain Winston Chuchill, un autre amoureux du Maroc. » .
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Majorelle : Une oasis marocaine
Auteurs : Pierre Bergé et Madison Cox. Photographies de Claire de Virieu
Éditeur : Imprimerie Nationale.
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Extrait d'un article de Bilbio Monde
« Un livre sur un des plus beaux jardin du monde, le jardin Majorelle de Marrakech, créé par le peintre Jacques Majorelle. Celui-ci donna son nom à une teinte de bleu libéralement utilisée pour peindre la maison et décorer le jardin, dans lequel il acclimata des milliers de plantes, certaines d'une grande rareté, collectionnées dans le monde entier..
(...) On raconte que le peintre demandait à ses hôtes de diverses nationalités de lui ramener de leur pays la plante la plus rare et la plus belle, en guise de souvenir. Et c'était fait.»
(Passage extrait d'un article de Rachid Sami, Maroc Hebdo, mai 2001).
Au moment de l'acquisition de ce jardin par Yves-Saint-Laurent, des travaux de restauration ont été réalisés; «Des systèmes d’irrigation automatique ont été mis en place en l’espace de neuf mois.Cette nouveauté a permis de rationaliser les dépenses d’eau. Outre son intérêt écologique et économique, ce système d’irrigation permet de réguler la répartition de l’eau selon les heures de la journée et les besoins en eau pour chaque type de plante. » .
(Passage extrait d'un article de Rachid Sami, Maroc Hebdo, mai 2001).
Au moment de l'acquisition de ce jardin par Yves-Saint-Laurent, des travaux de restauration ont été réalisés; «Des systèmes d’irrigation automatique ont été mis en place en l’espace de neuf mois.Cette nouveauté a permis de rationaliser les dépenses d’eau. Outre son intérêt écologique et économique, ce système d’irrigation permet de réguler la répartition de l’eau selon les heures de la journée et les besoins en eau pour chaque type de plante. » .
Le site Jardin Majorelle offre de nombreuses informations. Les oiseaux n'y sont pas oubliés.
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