'Une heure pour la planète' au mépris des hommes ?
Isaac Levitan, Crépuscule (Musée Russe, Saint Petersbourg)
Fin mars. Belle soirée mondiale et vertueuse où chacun contemple son reflet. Flatteur. Malgré l'obscurité, aussi artificielle que l'est la lumière habituelle de ses nuits.
Crépuscules oubliés que ne font pas renaître une heure ostentatoire. Comment l'apprécient les millions et millions de femmes et d'hommes qui n'ont pas accés à l'électricité dans leur vie quotidienne ?
Des millions et des millions de femmes et d'hommes dans le monde. Si nombreux. Près de deux milliards. Près d'un tiers des habitants de la terre... À eux l'obscurité non choisie et le silence.
Étrange 'écologie'.
1 commentaire:
Et monde étrange, en effet....
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