samedi, juillet 25, 2009

La bignone, Campsis radicans

.
. Celle-ci est très jeune, elle a été plantée au printemps. Déjà trois fleurs. Le mur blanc met en valeur leur métamorphose. La plus haute pourrait servir de modèle à un dessin, à une forme stylisée pour bois peint. Au dessous d'elle, une fleur sèche et ses pétales ont le mouvement d'un drapé.
Le coloris se modifie ; du rouille au brun, pâle ou sombre, l'orange éclatant s'est nuancé à l'infini. Étonnante après floraison.
.
Pour choisir une variété, écouter les conseils d'un horticulteur, d'un pépiniériste. Il saura vous indiquer quelle plante convient le mieux dans la région ou vous vivez. Rustique, mais...
Dans son habitat d'origine, cette grimpante s'appuie à un arbre.
.
On la taille fin février, voire fin janvier dans les zones plus chaudes.
. . .

mercredi, juillet 22, 2009

Sur la lune et sur terre...

. Sur la lune et sur terre se promènent d'étranges créatures. Non, ce n'est pas Neil Armstrong. Cet humain va et vient sur sa planète d'origine.
Il n'en participe pas moins à une entreprise remarquable : soigner et sauver les abeilles. Grâce à des chercheurs israéliens. Ils ont mis au point Remembee, un médicament « qui pourrait mettre fin au « Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles », un virus inquiétant qui entraine la destruction des populations d’abeilles et menace la production agricole de miel partout dans le monde.» Le miel et, essentielle, la pollinisation.
Source : Israel Valley
Davantage d'informations (en anglais) sur le site de la société qui commercialise le produit : Beeologics .
.
.

lundi, juillet 06, 2009

vendredi, juillet 03, 2009

Arbres

. .

Le jeune figuier se tient bien droit.
Protégé, les bois sont proches, les chevreuils audacieux. Dans un autre jardin une amie a vu un jour l'un d'eux se faire les dents sur le bananier dont elle prenait tant soin. À quelques mètres d'elle. Elle lisait me semble-t-il.
.
Les chevreuils ne mangent pas les livres, je suis sensible à tant de courtoisie.
.
Ce n'est peut-être pas la réponse la plus adaptée.
.
.
.

Traces du lierre

. Les cheminements du lierre se dessinent sur le mur. Aussi visibles que ceux de la vigne-vierge l'hiver. Mais ils s'effaceront lentement. La plante a été détruite à la base. Très doucement les longues tiges se délitent. Le mouvement en éventail est toujours perceptible. .
.